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Pendentifs en résine dorée et orangée, inclusions de paillettes, sequins, perles, papiers métalliques découpés et feuilles d’or, liens en cuir, pièces uniques, signées du monogramme de l'artiste en lettres gravées "HSL", créations contemporaines 

 

Après avoir coiffé les têtes des élégantes du prix de Diane entre autres,  avec ses chapeaux raffinés, envolées de tulle, de plumes et de rubans, qui ont enchanté les hippodromes de Longchamp à Chantilly, Hélène de Saint-Lager s’est évadée dans les occlusions de la résine et les méandres de la matière aluminium pour renouer avec ses premières amours pour les métiers d'art, du moulage au travail du métal, et ceci pour créér des objets, des meubles et des bijoux qui ont séduit les plus grands décorateurs et architectes d’intérieurs. Jacques Garcia sera le tout premier à soutenir sa création en lui confiant des chantiers prestigieux  (Schiaparelli Paris, La Réserve, Grand Hôtel de Doha), puis Peter Marino qui lui commandera regulièrement des tables pour les boutiques Louis Vuitton et Christian Dior à Londres, New York, Hong Kong, Tokyo, Séoul.  Elle vient également de réaliser de grands miroirs dorés à la feuille d'or pour la Maison Chaumet à Paris et à Londres. Ses créations ont été exposées dans les plus grandes galerie à Paris  (Galerie du Passage, Galerie Yves Gastou), à Londres (Davies Street Gallery), et à New York (Twenty First Gallery) 

Dans sa maison-atelier d'Ivry-sur-Seine, l'artiste élargit sans cesse son exploration de la matière, irradiant des inclusions poétiques et oniriques qu'elle y insère. Perles, paillettes, objets aussi insolites que symboliques à l'image des tours Eiffel multicolores, fleurs véritables, papier métallique, feuille d'or, se cristallisent dans ce glacis transparent et iridescent, qui nous hypnotise telle une poudre de fée, et nous fait voir le monde par le prisme de la féerie et de la beauté.

 

Hélène de Saint Lager en sondant la résine jusqu’à créer un tableau en trois dimensions où la matière s’évade dans la profondeur, se rapproche étrangement de l'effet visuel de la peinture. Une sorte de "dripping all over" ou de " deep-dive into ", autrement dit un jeté de matières fines, précieuses, raffinées, où l’artiste compose avec l’aléatoire, déploie et suspend un abîme profond de formes libres dans lequel l’œil s’enchante et se perd.

 

Outre la résine d'inclusion, l'artiste s'intéresse aussi au métal aléatoire, bronze ou aluminium, dont elle fait des tables, des chaises, des bijoux, des miroirs et des luminaires et de ces flaques de métal surgissent des formes innovantes, telluriques, qui ne sont pas sans rappeler les coulures du métal en fusion.  
 

Hélène de Saint-Lager, pendentifs “ Matière “

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